Le dernier film que vous avez vu

Joss a écrit:

j'ai ajouté des images pour mes deux dernières chroniques (chose qui devient difficile depuis chez moi avec notre ordi pourri   )

Ericochets a écrit:

Je l'ai vu également juste avant le festival Télérama...
Excellent ce film !!!

tu as pu le voir au ciné ?

Oui au Cac à Niort (salle d'art et essai) même salle où il y a eu le festival Télérama
Notre fille pour Noël nous a offert une carte d'abonnement avec une dizaine de films !!!

Ericochets a écrit:

Notre fille pour Noël nous a offert une carte d'abonnement avec une dizaine de films !!!

ha c'est cool ça

Hier soir

Green Book de Peter Farrelly

Citation :

En 1962, alors que règne la ségrégation, Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, est engagé pour conduire et protéger le Dr Don Shirley, un pianiste noir de renommée mondiale, lors d’une tournée de concerts. Durant leur périple de Manhattan jusqu’au Sud profond, ils s’appuient sur le Green Book pour dénicher les établissements accueillant les personnes de couleur, où l’on ne refusera pas de servir Shirley et où il ne sera ni humilié ni maltraité.

Plus connu pour comédies trash réalisées avec son frère Bobby (Dumb & Dumber, Mary à tout prix, Fou d'Irene), Peter Farrelly s'attaque ici à un sujet plus "sérieux" tout en adoptant le ton de la comédie. Enfin le côté "comédie" est surtout apporté par le personnage de Tony Lip, interprété par un Viggo Mortensen magistral, qui n'a pas hésité à prendre du poids pour le rôle. Le film tourne donc principalement autour du lien entre les deux personnages principaux. On connait la chanson, ceux-ci vont apprendre à s'apprécier lors d'un périple riche en péripéties, mais on se fiche de deviner d'avance l'issue de l'histoire (d'autant plus que c'est tiré d'une histoire vraie) puisque le duo fonctionne à merveille. Si Viggo crève l'écran, Mahershala Ali (qui a la côte en ce moment) n'est pas en reste dans le rôle de ce musicien qui a du mal à trouver sa place en dehors de la scène. Bref, un superbe "feel good movie", très drôle et qui réussi bien mieux que BlackKklansman à parler racisme avec humour et légèreté (et sans enfoncer de portes ouvertes).

Allez le voir.

et ma chronique pour Alita, pour l'hebdo qu'on édite au boulot

http://www.estuaire.org/sortir/cinema/2019/02/zoom-alita-battle-angel/

Sur Netflix
Roma d'Alfonso Cuaron
Chronique autour de la vie d'une domestique mexicaine dans les années 70...
On n'est pas loin du chef d’œuvre pour moi... C'est émouvant sans sombrer dans le pathos ou le putassier. C'est intimiste mais pas ennuyeux. Et surtout le film possède la plus belle photographique j'ai m'ait été donné de voir depuis bien longtemps au cinéma (enfin , sur Netflix , en l’occurrence ), ces noirs et blanc profonds, ces cadrages... Je recommande chaudement

Dans ma salle habituelle ...

Grâce à Dieu de François Ozon

Alexandre vit à Lyon avec sa femme et ses enfants. Un jour, il découvre par hasard que le prêtre qui a abusé de lui aux scouts officie toujours auprès d’enfants. Il se lance alors dans un combat, très vite rejoint par François et Emmanuel, également victimes du prêtre, pour « libérer leur parole » sur ce qu’ils ont subi.
Mais les répercussions et conséquences de ces aveux ne laisseront personne indemne.


Superbe interprétation des acteurs et un film qui a eu le mérite d'être fait

L'église n'avait pas envie qu'il sorte en ce moment et pour cause le procès est cette semaine !
J'espère que Barbarin va morfler sévère ...

J'espère aussi! Samedi j'ai croisé des scouts, j'ai forcément eu une pensée pour ceux qui ont morflé sévère...Y'a aussi les cas de religieuses abusées.

Fini hier soir
Harry Potter et la chambre des secrets
Je rattrape ces films que je n'avais pas vu à leur sortie, à la suite de la lecture des bouquins. C'est assez bien foutu en fait

Hier, Nos Vies Formidables

Margot, Jérémy, Salomé, César, Sonia…Ils ont entre 18 et 50 ans. Tout les sépare, sauf l’urgence de se reconstruire et de restaurer la relation à l’autre que l’addiction a détruite. Solidaires, ils ont comme seules règles, le partage, l’honnêteté, l’authenticité, la sincérité, l’humanité. Une bande incroyable de vivants qui crient haut et fort qu’on s’en sort mieux à plusieurs que seul.




Celui est dans mon top 5 des derniers films que j'ai pu voir. Beaucoup d'émotions, d'humanité, avec des acteurs vraiment formidables. On se demande parfois si on n'est pas dans un documentaire ...
un film vraiment bien réalisé !!!

Hier soir, au Concorde

La Favorite, de Yórgos Lánthimos

Citation :

Début du XVIIIème siècle. L’Angleterre et la France sont en guerre. Toutefois, à la cour, la mode est aux courses de canards et à la dégustation d’ananas. La reine Anne, à la santé fragile et au caractère instable, occupe le trône tandis que son amie Lady Sarah gouverne le pays à sa place. Lorsqu’une nouvelle servante, Abigail Hill, arrive à la cour, Lady Sarah la prend sous son aile, pensant qu’elle pourrait être une alliée.

J'avais été déjà bien scotché par The Lobster en 2015, film drôle et absurde ou des célibataire devaient impérativement se trouver une âme sœur, sous peine de se voir transformer en animal. Je n'avais pas eu l'occasion de voir son film suivant, Mise à mort du cerf sacré et je me rattrape donc aujourd'hui avec son dernier méfait. Ici, pas de conte fantastique mais un film historique tiré de faits réels mais romancé à la sauce Lánthimos. Le côté absurde est donc toujours là, et les 3 actrices principales (Emma Stone est au top) nous régalent de leurs joutes verbales et leurs jeux de manipulations. Pas mal de situations sont totalement désopilantes et l'on navigue constamment entre la comédie et le drame. Visuellement c'est parfaitement réussi aussi, avec de superbes scènes nocturnes à la bougie et rythmée par une musique baroque parfois hypnotisante.
Bref, deuxième gros coup de cœur de l'année après Green Book

ils le disent mieux que moi : http://www.cinemateaser.com/2018/08/73256-the-favorite-chronique

Joss a écrit:

ils le disent mieux que moi : http://www.cinemateaser.com/2018/08/73256-the-favorite-chronique

Mais tu l'as très bien dit !!!

En streaming : 

Viens de regarder The Dirt (Mötley Crue). Bon, ça se regarde, c'est pas le film du siècle non plus. C'est  sympa. Je m'attendais à plus trash. Ca reste fidèle à ce que le groupe à vécu dans les années 80.

Hier soir
Le Vent De La Liberte
1979. En pleine guerre froide, deux familles ordinaires d’Allemagne de l’Est rêvent de passer à l’Ouest. Leur plan : construire une montgolfière et survoler la frontière. Une histoire incroyable. Une histoire vraie.

Film plutôt sympathique, qui joue pas mal sur le suspense de la réussite de la périlleuse entreprise. Une Allemagne de l'est bien reconstituée (ces papiers peints ! ) , des acteurs convaincants et une musique tout à fait potable. Pas le film de l'année mais on passe un bon moment, notamment parce que c'est plus traité comme un film à suspense que comme un film historique

Dimanche soir :

Thunderbolt And Lightfoot, de Michael Cimino (1974).

Le titre français, Le Canardeur, donne envie de partir en courant... Il s'agit pourtant du premier coup de maître de Cimino (et premier film en tant que réalisateur). On retrouve déjà cette façon d'opposer l'ancien monde et le nouveau. En fait, Thunderbolt And Lightfoot a les codes du western alors que l'action se passe au début des années 70. D'excellents acteurs, dont un déjà très grand Jeff Bridges, un scénario solide, de l'humour, de l'action et de l'émotion, le tout magnifiquement filmé, avec déjà ces merveilleux plans de grands espaces, tels qu'on les retrouvera plus tard dans The Deer Hunter (Voyage au Bout de l'Enfer) et Heaven's Gate (La Porte du Paradis).

Et hier soir :

La La Land, de Damien Chazelle (2016).

Un film que nous avons regardé après que des potes ont insisté. Et ce n'était pas gagné, car comme Holmintosh, je déteste les comédies musicales ! Et en fait, j'ai été embarqué ! La musique est belle, les acteurs talentueux, charismatiques et émouvants, le scénario est plutôt orignal, tout en rendant hommage à l'histoire du cinéma américain. Belle surprise, donc !

Hier soir, Avengers - Endgame au ciné.

Je ne suis pas forcément un inconditionnel de la saga, même si j'aime bien voir ce genre de films de temps en temps. J'ai généralement une préférence pour ceux qui sont centrés sur un personnage précis, comme Iron Man, Antman ou Black Panther (pour citer ceux que j'ai préféré). Dans la série Avengers je n'avais vu que le premier mais ce grand final m'intriguant un peu je suis allé me prendre Infinity War en Blu-ray samedi (regardé le soir même) pour enchaîner très vite avec cette seconde partie et a priori le dernier film de la saga (j'en doute quand même...).
Alors effectivement on est dans du très gros blockbuster, totalement démesuré avec surenchère d'action, d'effets spéciaux et pouvoir de ouf. On comprend bien que c'est totalement assumé donc autant le prendre ainsi, quitte à fermer les yeux sur les trucs totalement improbables et les facilités. Le film est long, très long (3h), j'en suis ressorti presque fatigué, avec l'impression d'avoir vu trois films à suivre. Le bon point dans tout ça, c'est l'humour omniprésent, provoqué par les dialogues entres des personnages tous différents les uns des autres. Les acteurs prennent du plaisir et ça se sent. On rigole donc franchement à plusieurs reprises, surtout lors de la première moitié du film. Le scénario arrive même a nous "surprendre" lors de la première heure, les surprises s'estompant au fil du film qui devient plus convenu sur la fin.
A noter qu'il est sans doute plus intéressant d'avoir les autres films de la saga, les clins d'œil étant nombreux (n'ayant pas tout vu, il me manquait quelques clés). Nous pouvons même comprendre certaines choses qui étaient restées un peu obscures dans les précédents films (comme la scène post-générique d'Antman 2).
Bref, je pense que chacun sait si oui non il a un intérêt à aller voir ce film. A savoir que même en appréciant les films Marvel, on peut frôler l'indigestion

sur OCS (j'en profite un max tant qu'on l'a)

Millenium 1 - Les hommes qui n'aimaient pas les femmes
(la version suédoise, avec Noomi Rapace)


J'avais lu les 3 premiers livres il y a 10 ans, que j'avais beaucoup apprécié. Ils me restent un peu en mémoire mais je réalise que j'avais aussi oublié pas mal de choses en revoyant ce premier film. L'ambiance est vraiment fidèle à ce que je m'étais imaginé, tout comme les deux persos principaux. Noomi Rapace est impressionnante dans le rôle de Lisbeth et certaines scènes sont quand même assez dures (ceux qui ont lu les livres savent de quoi je parle).
Les épisodes 2 et 3 sont dispos dans 2 jours donc j'enchaînerai assez vite

Dimanche :

Jean-Jacques Annaud - La Guerre du Feu (1981).

Très sympa, ce début de carrière de Ron Perlman. Le maquillage est bluffant, surtout celui des Ivaka. J'ai cru à des zombies, mais ils m'ont finalement rappelé le Peuple des Arbres dans Cannibal Holocaust.

A.

J'ai toujours eu du mal avec les films de J.J. Annaud. J'y note cependant 2 exceptions : La Guerre du Feu et Le Nom de la Rose. Je trouve le dernier cité parfait !

Le Nom de La Rose est un chef-d'oeuvre !!!

Hier :


The Hills Have Eyes (La Colline a des yeux) de Wes Craven.



J'avais acheté ce DVD il y a presque 15 ans et je ne l'avais toujours pas regardé !  

Bref, 42 ans après sa sortie, ça se regarde toujours très bien : une sorte de mélange entre Massacre à la Tronçonneuse et Rintintin !

Pas de véritable horreur, mais par contre une excellente maitrise de la tension, un filmage assez nerveux  et des scènes qui, sans être traumatisantes (en tout cas en 2019), demeurent dérangeantes. Rien que la présence de Michael Berryman à l'écran arrive à mettre mal à l'aise !    
Un film réalisé avec un petit budget mais parfaitement maitrisé, avec des acteurs (et des chiens et des serpents) très convaincants. Le meilleur de tous ceux que j'ai vus de Wes Craven, en fait !

Excellent making-of sur l'édition Wildside.

Ce WE, Le Sens de la Fête, de Eric Toledano et Olivier Nakache !

C'est parfois gros mais dans l'ensemble c'est assez drôle avec un Bacri parfait et une pléthore de seconds rôles succulents ! Un film assez enlevé et rythmé, en grande partie, par la musique d'Avishai Cohen ! Pas la comédie du siècle mais un excellent divertissement !

La musique de Cohen est tellement bien "exploitée" que j'ai remis le couvert avec cet artiste ! Il y a des titres magnifiques, tirés de plusieurs albums, dans cette BO !

Avant-hier, Parasite de Bong Joon Ho (Palme d'or Cannes 2019)

Citation :

Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit à se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne...

Ceux qui ont déjà pu voir des films de Bong Joon Ho (Memory of Murder, The Host, Snowpiercer…) savent qu'on peut attendre de lui inattendu. Se faisant une spécialité du mélange des genres, en faisant côtoyer – avec le plus grand naturel – comédie et drame, thriller et satire sociale... Son dernier film ne fait pas exception... tous les genres précités sont d'ailleurs présents dans Parasite. Un film qui, dans sa première partie, va suivre un schéma logique, bien huilé et attendu mais que l'on suit avec délice tant les acteurs sont impeccables et touchants. Mais c'est Bong Joon Ho aux commande et la suite ne sera qu'une succession de "what the fuck" qui font réagir physiquement le spectateur. On en sort donc logiquement un peu secoué et je ne peux que vous inciter à filer le voir s'il passe dans votre coin.

Hier, en avant-première (et en famille)

Toy Story 4 de Josh Cooley

Citation :

Woody a toujours privilégié la joie et le bien-être de ses jeunes propriétaires – Andy puis Bonnie – et de ses compagnons, n’hésitant pas à prendre tous les risques pour eux, aussi inconsidérés soient-ils. L’arrivée de Forky un nouveau jouet qui ne veut pas en être un dans la chambre de Bonnie met toute la petite bande en émoi. C’est le début d’une grande aventure et d’un extraordinaire voyage pour Woody et ses amis. Le cowboy va découvrir à quel point le monde peut être vaste pour un jouet…

De tous les personnages issus de l'imagination des studios Pixar, ceux de Toy Story sont sans doute ceux qui ont le plus gros capital sympathie auprès du public. Peut-être parce que Toy Story 1er du nom fut la première sortie du studio qui a révolutionné le film d'animation moderne. Mais presque 25 ans après le début de l'aventure le constat est là : chaque sortie Pixar est un évènement dans l'année cinématographique (quasiment un film par an), même si les suites sont de plus en plus fréquentes, au détriments de nouvelles idées. Mais en ce qui concerne Woody, Buzz et cie c'est toujours un plaisir de les retrouver, surtout après 9 ans d'absence. Techniquement, le studio a encore une longueur d'avance sur la concurrence et les images sont toujours aussi somptueuses (la brocante, où se déroule une grosse partie de l'action, est à tomber, avec un souci du détail hallucinant). L'humour est toujours là avec les dialogues qui fusent dans tous les sens, rendant les jouets plus humains que les humains. Comme d'habitude, de nouveaux personnages font leur apparition... des gentils et des… "méchants", toujours assez bien travaillés, avec chacun son histoire personnelle qui leur donne "du corps".
Bref, une recette bien huilée, peut-être sans surprise mais qui a le mérite de ne pas décevoir.

lundi soir, Lords of Chaos de Jonas Åkerlund

Citation :

Dans le climat beaucoup trop apaisé de la Norvège des années 1990, Euronymous fonde le groupe Mayhem et devient l’épicentre de la nouvelle scène black métal norvégienne. Sa rencontre avec Varg Vikernes, l’homme derrière le projet musical Burzum, va précipiter les membres de son cercle dans une surenchère criminelle.

Une chance de pouvoir assister à ce film en salle, sachant qu'il sera très peu diffusé. A Nantes c'était dans le cadre de l'Absurde Séance, qui se déroule environ une fois par moi au Katorza. Ces RDVs proposent principalement des films qui n'ont pas vraiment leur place dans les circuits habituels : nanars, films gores, raretés etc... Donc autant dire que Lords of Chaos trouvait parfaitement sa place dans ce cadre. Déjà dans la rue, vision surréaliste d'une longue file d'attente composée principalement de metaleux, ce qui n'a pas manqué d'en interroger certains.
L'interview du réalisateur dans Rock Hard m'avait bien motivé à voir le film, que j'aurais sans doute pris pour un nanar. Jonas Åkerlund n'a pas une grosse filmographie, il a par contre réalisé un paquet de clip pour des vedettes internationales (metal ou autre, je vous laisse regarder sur Wiki). Il a aussi été batteur dans le groupe culte Bathory en 84, ce qui lui donne déjà une "légitimité" pour s'attaquer à ce biopic brûlant.
On ne peut donc qu'être agréablement surpris par la qualité cinématographique du film, qui n'a rien à envier à pas mal de films indés. Le ton général est assez réaliste, le film bien rythmé avec quelques scènes assez drôles… mais on ne rit pas tout le temps bien sûr. Les scènes de crimes ou d'automutilation sont particulièrement crues et nous rappellent qu'au delà de la légende, ça reste des faits assez graves. Bien entendu il reste des zones d'ombres, et pour cause, certains protagonistes ne sont plus là pour témoigner, et ceux qui restent (comme Varg Vikernes) sont certainement peu loquaces (il n'a d'ailleurs pas approuvé la vision du réalisateur, ni donné les droits pour sa musique, contrairement à Mayhem).
Enfin, mention spéciale aux acteurs, notamment les 3 principaux qui sont particulièrement convaincants et touchants dans leurs rôle.
A voir, si vous en avez l'occasion, amateurs de Black metal ou non.

Je regarde ça pour le moment!

Faudrait que je le regarde un jour, histoire de pouvoir médire en connaissance de cause