Le dernier film que vous avez vu

J'ai été aussi un peu déçue par Coraline...

Mes impressions, à l'époque de sa sortie :

"Très joli film d'animation en stop motion par l'artisan Selick !
J'ai apprécié le retour à un univers de conte pour enfants "à l'ancienne", parfois sombre et macabre (merci Mr Neil Gaiman).

Le
character design est vraiment excellent, notamment celui de Coraline
(avec sa bouille de travers) et celui de son "autre mère" (en version
sorcière, excellent !).
Le casting est brillant, Saunders &
French, la jeune Dakota Fanning, adorable, et surtout - surtout ! -
Terry Hatcher, étonnamment vibrante en version maléfique !
Mention
spéciale aussi à la musique de Bruno Coulais, qui, lorsqu'elle s'éloigne
des artefacts à la Danny Elfman, est vraiment intéressante.

Seulement,
voilà, le film n'est pas parvenu à m'emporter. La faute à un montage
pas assez nerveux et à certaines errances scénaristiques autour de
personnages secondaires peu palpitants et qui éparpillent
dramaturgiquement l'aventure de Coraline (les voisins, notamment Mr
Bobinsky et son cirque... bof).

Bref, un manque de densité et de
concision ne permet pas à Coraline d'être pour moi le chef d'œuvre tant
acclamé par la critique et le public."

Qui a tué Pamela Rose ?
J'avais le souvenir que ça m'avait bien fait rire à sa sortie, ca n'a pas été le cas hier. Kad et O sont vraiment plus drôles dans leurs sketches

Tiens, ai réussi à mettre la main sur la version longue du Fanny & Alexandre de Bergman, et suis soufflé tellement ce film est excellent, et esthétiquement inattendu, rapport à l'unité de l'oeuvre de Bergman jusque là, que le film vient rompre en quelque sorte.

Pour idée, l'équipe technique et une partie du casting sont les mêmes que ceux à qui Tarkovski fera appel pour "Le sacrifice" trois ans plus tard. A la différence que F&A est un film d'intérieur et que les couleurs sont beaucoup plus chaudes. La photo est vraiment superbe, d'autant qu'on a l'impression que le temps n'aura jamais d'emprise dessus (là où l'expérience de la couleur chez Bergman, mis à part peut-être sur 'Une passion', n'a pas toujours été très heureuse).
Côté sujet et thèmes abordés, on a souvent présenté ce film comme une synthèse bergmanienne et c'est plutôt vrai: d'abord une nostalgie bourgeoise/familiale très marquée, et assez typique (voir 'Les fraises sauvages', ou encore 'Cris & chuchotements' pour un regard plus tout à fait aussi conciliant) - et qui à mon avis donne lieu à quelques longueurs & faiblesses dans l'ouverture et le dénouement du film...; quelques incursions dans le surnaturel ou le mystique (déjà abordés dans Le visage, ou A travers le miroir) - avec même une scène d'horreur digne de 'L'exorciste' (sans déconner!) - mais il s'agit d'un surnaturel qui est peut-être d'avantage à rapprocher de ce que Kieslowski développera par la suite (notamment sur 'Sans Fin'), que de ce que Bergman avait lui même pu explorer par le passé; et puis toujours au centre du film une série de couples qui se foutent sur la gueule (mais ça, ça semble plus fort que lui!) - mais là encore avec globalement plus de tendresse que d'accoutumée.
La chose peut-être nouvelle que le film apporte est ce regard sur l'enfance (ou plus exactament, 'de' l'enfance), avec du coup une lumière plus singulière portée sur le monde extérieur, d'un côté plus tranchée, "incorruptible", et dans le même temps nourrie d'imaginaire et de fantasque. Ce qui donne d'ailleurs lieu à une paire de scènes oniriques simplement magnifiques (et qui, je crois me souvenir, ont partiellement sauté dans la version ciné, raccourcie de 2 heures).
Dernière chose, une paire de performances d'acteur à souligner, et parmi eux avant tout Jan Malmsjö en évêque/beau-père tyrannique et excellement détestable.
Voilà, c'étaient juste quelques mots parce que ce film m'a mis une claque, qu'il ouvre des milliards de perspectives, et qu'il est à voir! Comme je l'ai dit plus haut, les scènes de retrouvailles familiales en ouverture et fermeture sont peut-être classiques et relativement les plus faibles, mais le développement central est une merveille de richesse & de maîtrise.

ce soir

Les Noces Funèbres de Tim Burton (Corpse Bride)


Je ne l'avais revu depuis le ciné, en fait j'en avais oublié les 2/3...
Et bien c'est toujours aussi bon. La comparaison avec l'Etrange Noel de M. Jack est inévitables, plusieurs éléments y font d'ailleurs volontairement référence (la scène d'errance dans les bois ; le chien mort, compagnon du héro ; la tour de l'ancien rappelant celle du savant fou etc...) et ces Noces funèbres souffrent donc légèrement de cette comparaison avec son illustre prédécesseur, notamment à cause du scénario qui, sur une bonne idée de départ, fini par tomber dans le plus commun...
Mais il ne faut quand même pas bouder son plaisir devant cette maestria d'animation et ces superbes décors (comme d'habitude avec Tim, sombres et tristes chez les vivant, colorés et animés chez les morts), sans parler des humains extrêmement caricaturaux dans leurs traits. De plus beaucoup de trouvailles très drôles maintiennent l'intérêt durant 1h10. Au ciné j'avais trouvé ça un peu court mais finalement c'est très bien ainsi, ça ne s'étale pas trop et ça nous donne au final un chouette petit conte macabre.

L'étrange affaire Angelica de Manoel de Oliveira


Etrange film que cette Etrange affaire Angelica. L'histoire : un jeune photographe est appelé d'urgence pour immortaliser une dernière fois une jeune mariée venant de mourir. Mais au moment de faire son cadrage, celui-ci semble voir la jeune femme lui sourire. Il en tombera ensuite amoureux et ce sera le début d'une véritable obession.
J'étais curieux de voir comment un scénar comme ça allait se développer pendant 1h30... Il en résulte un film très contemplatif, peu de travelling mais beaucoup de plan fixes où un soin tout particulier est apporté aux cadrages et aux lumières. Beaucoup de jeu sur les clairs-obscurs qui donnent l'impression de se trouver devant une succession de tableaux. Curieusement le film ne tombe pas trop dans le pathos et certaines scènes sont étrangement cocasses et décalées (j'en dit pas plu).
Un très bon moment, si on accepte la lenteur assumée du film.

de que film est extraite cette image retouchée

Animal Kingdom
de David Michôd. Australie (2010)

Citation :

Une rue anonyme dans la banlieue de Melbourne. C’est là que vit la famille Cody. Profession : criminels. L’irruption parmi eux de Joshua, un neveu éloigné, offre à la police le moyen de les infiltrer. Il ne reste plus à Joshua qu’à choisir son camp...

Excellent polar/thriller qui nous mène au milieu d'une famille de criminel dominée par une matriarche machiavélique. L'ambiance est pesante, sans être étouffante... une sensation de pesanteur est palpable durant tout le film, avec un crescendo dans la tension. On a l'impression que tout peut arriver à n'importe quel moment. Le scénar évite bon nombre de clichés et ne cède jamais à la facilité d'utiliser des scènes choc.
La réal est aux petits oignons mais le film ne serait rien sans sa brochette d'acteurs vraiment impressionnants, principalement les membres de la familles et notamment la matriarche. Je recommande grandement.

Ce soir, c'était The Countess, de Julie Delpy !

Une vraie réussite ! J'en reparlerai plus tard, car là : !

Ehn Deïss a écrit:

Ce soir, c'était The Countess, de Julie Delpy !

Une vraie réussite ! J'en reparlerai plus tard, car là : !

Me semble que Verbena en parle quelque part dans ce fil
Sans ça, concernant Julie Delpy, je l'ai justement vue la semaine passé dans Trois couleurs: Blanc de Kieslowski (1994).
Etonnant, ce film, rapport à la production précedente de Kieslowski. Je le vois surtout comme une espèce de jeu de la part de K., jeu sur la réalisation avec un montage très fin et des milliards de symboles qu'il glisse comme des devinettes, jeu avec le spectateur qu'il s'amuse presque à tourner en bourrique avec un fil toujours plus rocambolesque et beaucoup de second degré, et des personnages d'abord insignifiants qu'il dévoile scène après scène. A tel point qu'on se pose beaucoup de questions à la fin.
Inattendu dans tous les cas, et très agréable!

Le dernier Mamoru Oshii ; dont je repoussait la vision depuis déjà plus d'un an par manque de temps... C'est une sorte de suite, d'élaboration d'Avalon, son précédent film live. En plus cheap, mais inutile de préciser que c'est comme d'habitude beaucoup plus que ça en a l'air.
Très bizarre. Ca plaira pas à tout le monde.

Joss a écrit:

Valse avec Bachir


Autobiographie du réalisateur et ex-soldat israélien Ari Folman. Le film raconte comment cet homme arrive à faire resurgir ses souvenirs oubliés de la guerre du Liban, en partant à la rencontre d'autres ex-soldats.
Belle idée que d'avoir choisi l'animation pour raconter cette histoire. ça permet de prendre un peu de distance avec des faits forcément horribles et rend certaines séquences presque poétique (si on fait abstraction des faits). L'animation est plutôt curieuse, les personnages sont en 2D mais animés à l'ordinateur et évoluant de superbes décors 3D, avec un gros travail sur les couleurs et la lumière. J'en ai pris plein les yeux une fois de plus :hiiii:

avec le DVD il y a quelques bonus très intéressants, dont un extrait d'un journal télévisé d"époque relatant le massacre du camps de réfugiés Sabra et Chatila.

Bizarrement, je regarde plein de films en ce moment...

J'avais vu ce film au cinéma à sa sortie... Retour hier sur le DVD ! J'aime vraiment beaucoup ce film ! Je suis assez d'accord avec ce que tu en dis. Mais pour moi, l'utilisation de l'animation pour figurer la perte de la mémoire, créant effectivement une distance avec le réel, est aussi ce qui rend la dernière séquence absolument insoutenable ! La musique, aussi : omniprésente, belle, rythmée, avec parfois des détours vers le rock de l'époque, jusqu'à ces dernières minutes, quasi-silencieuse, à l'exception d'un bourdonnement désagréable...

Film magnifique, mais vraiment très dur !

Hier soir, on a allumé la télé et éteint le cerveau : Iron Man 2 !

Le premier était vraiment bien, mais celui-ci est d'une très grande banalité ! Scénario un poil bordélique, mise-en-scène tape-à-l'oeil... Un bon moment quand même (car on n'en demandait pas plus en ce dimancehe soir), mais c'est tout...

The Prodigies (3D)

Citation :

Synopsis : Jimbo Farrar, jeune professeur surdoué, a réussi à maîtriser son puissant pouvoir de télékinésie qui le poussa à faire s'entre-tuer ses parents lorsqu'il était enfant. Grâce à un jeu vidéo en ligne il arrive à repérer d'autres enfants ayant aussi son pouvoir.

A mi-chemin entre Carrie et X-men, ce film est assez violent et absolument pas destiné aux enfants (interdit aux moins de 12 ans). L'histoire est assez sombre mais le partit-pris "animation" crée une certaine distance qui rend plus "acceptables" certaines scène. On navigue donc dans une ambiance très "high tech" dans un new-york du futur à l'esthétique très jeux-vidéo mais avec tout de même beaucoup de chaleur dans les couleurs et les décors qui rappellent le travail de l'illustrateur chinois Benjamin (spécialisé dans le dessin numérique). La violence et l'action sont très esthétisés, à la façon de films comme Kill Bill ou Matrix.

Pour ce film la 3D me semble quasiment indispensable, d'autant plus qu'elle était voulue bien avant que ça devienne une mode (le film était en gestation bien avant la sortie d'avatar)

Je recommande donc vivement ce film à tous ceux qui s'intéressent à l'animation actuelle, le film n'oubliant pas de proposer un scénar captivant même si son déroulement s'avère peu original au final.

Faut arrêter avec Avatar et la 3D... Le procédé existait bien avant !
C'est un peu comme la 3DS, je lis depuis des mois des montagnes de billevesées à propos de l'engin mais tout le monde a oublié que Nintendo bossait dessus depuis 15 ans...

Bref. Ca n'a rien à voir avec le film donc je m'arrête là

Valhall a écrit:

Faut arrêter avec Avatar et la 3D... Le procédé existait bien avant !

ai-je dit le contraire ?

tu ne peut pas nier que la vague 3D est arrivée avec Avatar, entraînant bon nombres de films où le procédé était plus où moins réussi (des films que je n'ai pas vu, je parle des retours que j'ai eu)

là je précisait que ce n'était pas de l'opportunisme mais bel et bien voulu depuis le début du projet...

Certes.

Ces derniers jours:
Krzysztof Kieślowski - Bleu / Rouge (1993-94)
Pas à dire, il est tout en haut parmi mes réalisateurs préférés
Andreï Tarkovski - L'enfance d'Ivan (1962)
Très joli, un ton très proche dans cette veine réaliste de celui des quelques films (très très recommendables!) réalisés par Andrzej Munk à la même époque (Un homme sur la voie, Eroïca, La passagère avant tout)
Dominique Abel & Fiona Gordon - L'iceberg (2005)
que j'ai revu avec plaisir. Beaucoup d'humour et de légereté, et une paire de situations/scènes simplement très grandes!

L'enfance d'Ivan est un magnifique film, je l'ai acheté en dvd mais pas encore revu....mais je sais que les larmes viendront!
Plus drole car dans notre epoque il est aussi important de regarder des comedies : the sound of noise, super film suedois ou des musiciens deviennent terroristes en detournant tout objet pour creer des oeuvres surprenantes!
Voyez aussi sur youtube leur court metrage : music for 6 drummers and one apartment! Jouissif!

STRAPHANGER a écrit:

Plus drole car dans notre epoque il est aussi important de regarder des comedies

Toutafé !!!!!

Dimanche soir sur NT1 (Je ne regarde quasiment jamais la télé sauf quand ...)



Un navet qui s'assume plein de belgitude avec pléthore de stars, Mélanie Laurent, Cotillard ...
Avec comme sponsor visiblement officiel : Duvel !
C'est définitivement nul et ça fait un bien fou !
Terminé, bonsoâââr ...

STRAPHANGER a écrit:

Voyez aussi sur youtube leur court metrage : music for 6 drummers and one apartment! Jouissif!

En effet, plus que très bien foutu..!
(Il me bottait beaucoup, ce film, mais j'étais finalement passé à côté à sa sortie... )

Toutafé zégalement pour Dikkenek..!

Khyber a écrit:

Toutafé zégalement pour Dikkenek..!

T'es un lillo, c'est normal que tu apprécies !

Ces derniers jours
Segio Leone - Pour une poignée de dollars

David Cronenberg - A History of Violence / Eastern Promises
Concis, brutal et hyper efficace.. J'aime assez sa façon de "raconter", qui laisse toujours une part d'implicite et de suggestion, jusqu'au dernières séquences, ouvertes pour chacun des deux films. Mortensen impressionant, et plutôt amusant de retrouver Skolimowski dans un second rôle des Promesses... - Skolimowski dont d'ailleurs le Deep End de '69, bercé notamment par la musique de Can (l'excellent 'Mother Sky' disponible sur Soundtracks), vient de ressortir en salles restauré.

vu Les origines de la planete des singes hier soir. Pour être franc, je m'attendais pas à accrocher autant. Certes c'est assez calibré avec quelques personnages très stéréotypés mais pour ce genre de film ça ne me dérange pas. Le scénario est quand même bien ficelée et on n'a pas besoin que l'action arrive vite pour être pris dans l'histoire.

Une grand partie de l'intérêt vient aussi de la réussite dans la réalisation des singes, leurs déplacements, leurs mimiques (j'ai beaucoup aimé l'orang-outan).

j'ai bien envie de voir la suite, il me semble bien qu'il y en a une de programmée, mais je ne sais pas pour quand.

et puis ça m'a tout de même donné envie de revoir la toute première adaptation avec C. Heston...


en regardant sur Allociné, je viens de me rendre compte qu'il y avait eu 4 suites à ce film au début des 70 je me souvenais d'en avoir vu, mais pas autant...

Le Secret de la planète des singes
Les Evadés de la planète des singes
La Conquête de la planète des singes
La Bataille de la planète des singes

Nothing, de Vincenzo Natali.


Ahahaha ! Grosse marrade ! Par le réalisateur de Cube (que j'avais bien aimé)...
Deux mecs, un peu niais, inadaptés sociaux, et qui habitent dans une maison pourrie en plein milieu d'une autoroute, réussissent à se mettre dans de gros ennuis (bien débiles, d'ailleurs). Poursuivis de toutes parts, ils basculent dans une dimension étrange, où tout a disparu, à part leur maison ! Autour : du blanc à perte de vue, que dalle... Mais avec un sol à la texture rappelant le tofu (selon les personnages) ou plus simplement un trampoline invisible !
A partir de là, on tombe dans le grand délire !
Jouissif !


After The Wedding, de Susanne Blier.


Où l'on retrouve le héros silencieux de Valhalla Rising, Mads Mikkelsen (qui est aussi le méchant dans Casino Royale). Pas marrant du tout, celui-là !

Résumé : Jacob Petersen a voué sa vie à la construction d'un orphelinat en Inde. Mais l'établissement est menacé de fermeture. Un donateur, Jorgen, lui demande alors de rentrer au Danemark pour effectuer la transaction financière. Arrivé sur place, Jorgen l'invite au mariage de sa fille qui a lieu le lendemain. Lors de la cérémonie, Jacob comprend que sa présence n'est pas sans raison...

La mise-en-scène (beaucoup de très gros plans menaçants) annonce un piège machiavélique dans lequel le héros ne devrait pas manquer de tomber... Sauf que la réalisatrice nous entraîne ailleurs ! Impossible d'en dire plus sans spoiler, mais ce drame est vraiment bouleversant, au point de m'avoir fait chialer comme un gosse, paf, comme ça, sans prévenir !

Très beau film (danois) !



Et là, je me lance dans la trilogie Pusher (avec là encore l'excellent Mads Mikkelsen) ! J'en parlerai quand j'aurai vu les trois épisodes, mais ce qui est sûr, c'est que le potentiel humoristique de cette série de m'a pas l'air énorme !

Excellent premier volet, ceci dit !



Sinon, quelqu'un a vu le dernier Lars Von Trier ?

Quelqu'un a tenté le dernier Spielberg?

Je me doute que ce ne sera pas du niveau de Rencontre du 3e type mais je suis curieux tout de même...

Ehn Deïss a écrit:

Où l'on retrouve le héros silencieux de Valhalla Rising, Mads Mikkelsen (qui est aussi le méchant dans Casino Royale). Pas marrant du tout, celui-là !

J'ai découvert cet acteur dans un film Danois sur Arte il y a deja pas mal de temps, genre de film qui passe a 1h00 du matin en VO, superbe film a ne pas rater avec un vrai potentiel comique cette fois ci, ADAM's APPLES (Les pommes d'Adam) .... Ou un skin violent fait une sorte de cure de repos dans une communauté de déglingués tenue par un pasteur (Mikkelsen) , fabuleux acteurs, rires et larmes au rendez vous!



En DVD pas cher :

http://www.amazon.fr/Adams-apples-Ulrich-Thomsen/dp/B000NJM5YC/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1313922972&sr=8-1