Bien l'bonjour

Oui, c'est normal que ça frise ! Ça va finir par passer, ne t'inquiète pas ! Regarde sur internet comment bien positionner ton pouce derrière le manche... En t'entrainant régulièrement, tu vas gagner en précision !

J'ai la tablature de "Is There Anybody Out There?", si tu veux !   Je peux te la scanner, elle m'a l'air correcte...

Moi, il y a un truc qui m'énerve : un jour, je joue bien, je suis content, et le lendemain, c'est de la m.... !  

Oui, c'est normal de ne pas passer ses accords sans problème au début. C'est vrai que c'est un peu ennuyeux d'enchainer une série d'accords sans cesse, mais c'est le seul moyen d'y arriver sans que les cordes frisent justement. Quant à "Is There Anybody Out There", c'est effectivement bien compliqué pour quelqu'un qui débute. Mais bientôt, je pense que tu pourras te tenter "Wish You Were Here" (le morceau).

Oh oui je veux bien la tablature, merci. (Même si je suis pas sûre de bien la déchiffrer    )

@billx : tiens c'est marrant je n'aurais pas cru que wish était plus facile, comme quoi.

En tout cas merci de me rassurer, ça me remotive.

Wish est beaucoup plus facile au niveau des accords ! Après le solo, c'est une autre histoire   

J'ai demandé à Monsieur Blixa de me faire un petit papier sur Escalator Over The Hill (c'est lui le plus calé dans cette histoire) mais il lui était difficile d'en parler sans le replacer dans le contexte de sa vie.
Je préfère le placer ici mais peut être qu'une partie pourra être reprise dans un topic sur Escalator Over The Hill/Carla Bley.



Donc petite présentation de Monsieur Blixa :

Ma chère et tendre, lassée de m’entendre parler de « Escalator over the hill. A Chronotransduction by Carla Bley & Paul Haines », m’a demandé d’écrire un texte pour tenter d’expliquer la raison de cet acharnement. Il faut savoir que, pour resituer, au début de notre relation, je lui avais fait une K7 de l’album. Pour être franc, le retour ne fut pas aussi enthousiaste que je l’espérais. Mais bon, cela n’a pas non plus entaché la continuité de notre liaison, c’est le principal, non ?. Bref, rude tâche donc, voici le résultat :
Début des années 70, je quitte mon petit village pour mes études secondaires à Nantes. A l’époque j’avais une culture musicale proche du zéro. Mon intérêt pour la musique se limitait à l’écoute du Hit-Parade sur Europe 1. Et il n’y avait pas la TV à la maison ! J’avais bien eu un électrophone pour ma Communion Solennelle, mais comme je n’avais pas d’argent de poche, je ne pouvais pas m’acheter de disques. A part les quelques 45 tours qu’on m’avait offert (Sheila, Adamo, Richard Anthony, Mireille Mathieu…) et les 2 seuls 33 tours de mes parents (André Verchuren et Tino Rossi)… rien… nada ! Le seul disque que je me suis acheté « avec mes sous » c’était un 7’’ des Aphrodite’s Child, que j’avais découvert à la radio avec le titre « End of the world ». Je me souviens que la face B m’avait déconcertée. Quand je réécoute cela maintenant, je me demande bien ce qui avait pu me choquer. Avant cette arrivée à Nantes il y a quand même eu un prof de musique qui nous faisait écouter des choses très bizarres comme Pierre Henry (Messe pour le temps présent). J’avoue que ces écoutes sont restées gravées dans ma mémoire, et si je n’avais pas, à l’époque, les « codes » pour apprécier, j’avais été assez intrigué pour que cela reste dans un coin de ma tête.

Revenons donc à mon arrivée à Nantes. J’étais pensionnaire et à partir de la 1ère on était plus en dortoir mais en chambres de 2. Et il était permis d’avoir des objets de « reproduction sonore ». Et un de mes camarades m’a fait découvrir Pink Floyd. Alors là, ce fut l’étincelle qui mit le feu aux poudres. Très vite j’ai voulu en savoir plus sur toutes ces musiques dont je ne connaissais même pas l’existence, et je me suis mis à lire tout ce que je trouvais pour rattraper mon retard. Tout était bon : Rock & Folk bien sûr, mais aussi la seule revue qui trainait à la maison : Le Pèlerin !!!! Faut pas rire, à l’époque, même des revues ultra-catho comme Le Pèlerin étaient infiltrées par des progressistes. Pour preuve : c’est après avoir lu une critique du « Third » de Soft Machine dans Le Pélerin que j’en ai fait l’achat.

C’est à peu près à la même époque que j’ai touché mes premiers salaires pour des travaux saisonniers… 2ème révolution : je pouvais enfin acheter les disques que je voulais. A l’époque je ne me rendais pas compte que j’étais parti pour une passion qui n’allait plus me quitter. J’étais tombé dans la marmite. Toujours à la même époque j’ai commencé à fréquenter la Maison des Jeunes de mon village. Il y avait une sono et l’on pouvait emmener ses disques pour les écouter et les faire écouter aux autres. J’y ai entendu beaucoup les Beatles et tous les groupes phares de l’époque, mais j’étais plus attiré par des choses moins « mainstream » comme Magma. Ah, Magma ! Mon 1er concert à Nantes. J’en suis ressorti complètement chamboulé (le mot n’est pas assez fort). Plus rien n’allait être pareil. De là, au fil de mes lectures, j’ai commencé à m’intéresser au Jazz-Rock très en vogue à l’époque. J’étais loin de tout aimer dans ce genre de musique : Zappa oui, certainement, mais Return to Forever, par exemple, pas trop mon truc. J’avais lu que Miles Davis était un peu le père de tous ces musiciens. En tous les cas, une majorité d’entre eux avaient joué avec lui avant de monter leurs propres groupes. Je me suis donc aussi beaucoup intéressé au Jazz via Miles puis au Free-Jazz. Mon évolution viendra beaucoup de ce que j’appelle le système « fil en aiguille ». Exemple, je parlais du « Third » de Soft Machine, le titre « Moon in june » (toute la face C) m’avait vraiment scotché au plafond. C’était surtout la voix étrange de Robert Wyatt qui m’attirait. De là j’ai acheté « Rock Bottom » bien sûr… et aussi tout ce que je pouvais trouver ou il était présent. Comme « The Hapless Child » de Michael Mantler, véritable chef-d’œuvre soit dit en passant. Evidemment, de Michael Mantler je suis vite arrivé à sa femme : Carla Bley. Et BOUM je me suis pris « Escalator over the hill » en pleine tronche. Mon Dieu, il y avait tout ce que j’aimais dans cet album : une sorte d’opéra avec un mélange de jazz (et parfois même du free) et de rock sans être vraiment du Jazz-Rock et surtout un coté délire qui m’enchantait. Un pur OVNI pour moi à l’époque. Et puis ce line-up de rêve : Gato Barbieri, Jack Bruce, Don Cherry, Charlie Haden, Jeanne Lee, Michael Mantler, John McLaughlin, Don Preston, Linda Rondstat… pour ne citer que les plus connus, car la liste des participants est longue, très longue même. L’enregistrement fut étalé sur 4 ans : de 1968 à 1971 (année de sa parution) et est sorti sous la forme d’un triple 33 tours. Mon exemplaire était la réédition Virgin avec une pochette différente (j’ai racheté plus tard le coffret original sur JCOA et aussi le coffret CDs. Quand on aime…). Petite anecdote pour terminer. Le titre « Rawalpindi Blues » me fascinait tant que j’avais un rêve un peu fou : aller un jour au Pakistan du Nord et voir à quoi ressemblait cette ville mystérieuse. Certains rêvent des Seychelles ou de Bora-Bora, moi c’était Rawalpindi. Et j’ai réalisé mon rêve… près de 15 ans plus tard. C’est un peu con à dire, mais j’étais heureux comme c’est pas possible : « Putain je suis à Rawalpindi, je suis à Rawalpindi ! », surtout quand je me suis retrouvé devant un cinéma avec des affiches comme celle que l’on voyait sur une des photos du livret. Ceci dit pour un touriste classique Rawalpindi n’a sans doute pas un intérêt démesuré. Moi, de toute façon, quand je voyage ce ne sont pas les monuments qui m’intéressent, mais l’ambiance du lieu (ou les paysages). Là, j’étais servi.
C’est certain EOTH reste 40 ans plus tard toujours aussi important pour moi. Pourtant, presque en même temps j’ai acheté des albums aussi essentiels que le « Sketches of Spain » de Miles Davis ou le « Liberation Music Orchestra » de Charlie Haden (avec d’ailleurs beaucoup de musiciens commun avec le Carla Bley) mais le Carla Bley reste quand même vraiment à part des autres.

Il y aura d’autres révolutions dans ma passion : La prochaine sera le Punk ou plutôt le Post-Punk et la musique Indus, en ce qui me concerne, dont Throbbing Gristle & The Residents seront 2 des plus grands catalyseurs. Mais ceci est une autre histoire.

Merci beaucoup pour la lecture proposée !

Et je serais pas contre quelques suggestions concernant The Residents !

Sympa la lecture ... Moi aussi mon prof de musique m'a fait écouter la messe pour le temps présent ! ( et moi aussi j'ai lu le Pèlerin : Il y avait une BD en trois cases qui me faisait rire )

En tout cas cela donne envie de découvrir cet opéra jazz !

Merci mister Blixa. Passionnant récit. Au plaisir de te "revoir" ici avec Blixa :)

Interstellar Force a écrit:

En tout cas cela donne envie de découvrir cet opéra jazz !

Itou ! L'est dans mon panier !

Pour ceux que ça intéresse il avait aussi écrit un texte dans la même veine sur This Heat :

This Heat fait parti des rares groupes qui ont eu une importance capitale dans mon évolution musicale(1). Quand j’ai découvert ce groupe, à la fin des années 70, le punk n’avait pas encore atteint mes oreilles. Mes centres d’intérêts musicaux étaient alors plutôt concentrés sur le rock progressif et planant : Pink Floyd, Soft Machine & Robert Wyatt, Frank Zappa, Can, Tangerine Dream & Klaus Schulze, Magma… et le jazz électrifié : Miles Davis et ses « enfants ».

Je me souviendrais toujours la première fois que j’ai entendu le 1er album de This Heat, c’était dans un vrai magasin de disques(2) comme il n’en existe plus beaucoup maintenant. J’avais choisi ce disque dans les bacs à cause de sa pochette dont le minimalisme me séduisait et aussi suite à une chronique d’un certain Pascal Bussy(3) dans une revue de Hi-fi  (Stéréoplay). A l’époque il y avait la possibilité d’écouter les disques - sans casque - dans des cabines isolées du reste du magasin. On pouvait se mettre à 2 dans ces cabines et moi ce jour là, par je ne sais pas quel hasard, je me suis retrouvé avec ma petite sœur… Je ne pense pas qu’elle s’en souvienne, et pourtant elle fut pour le moins décontenancée !... Pour être honnête, moi aussi… mais j’ai tout de suite accroché à cette musique déroutante et inouïe pour l’époque. J’ai vite abrégé ses souffrances en achetant illico presto cet obscur objet du désir. A partir de là tout a été très vite et je me suis engouffré dans ce mouvement que l’on appelait pas encore le « post-punk » avec toutes ces ramifications venant principalement des Etat-Unis :  Père Ubu, Suicide, The Residents, Tuxedomoon,  la No Wave avec Lydia Lunch,  James White… et de Grande-Bretagne :  Public Image Limited, Pop Group, Flying Lizards, Eyeless In Gaza, Rip Rig & Panic et les groupes fondamentaux comme Throbbing Gristle, Nurse With Wound, Cabaret Voltaire (+ Einstürzende Neubauten en Allemagne) qui définissaient les débuts de la musique dite « industrielle »... Toute une époque !

Pour résumer, This Heat fut un peu pour moi ce que furent les Beatles pour une majorité de gens c'est-à-dire une sorte de catalyseur.  A la même époque il n’y eu que Ghédalia Tazartès pour avoir un impact aussi fort dans mes découvertes musicales.







(1) : Parmi mes autres tournants  je citerais chronologiquement :  « Meddle » de Pink Floyd, c’est ce qui a mis le ‘feu aux poudres’ pour moi, puis pas longtemps après « Get Up With It » de Miles Davis qui m’a amené à John Coltrane et plus globalement au jazz. Plus tard après This Heat, au début des années 90 c’est le label Warp avec ses compiles « Artificial Intelligence » et Aphex Twin qui m’a fait plonger dans la musique Techno. Enfin, et avec du retard, le « Live in Stockholm July 1971» des japonais de Taj-Mahal Travellers qui m’a ouvert sur ce rock (au sens large) venu du japon vers la fin des 60’s et le début des 70’s.

(2) : Ce magasin de disques, bien sûr, n’existe plus maintenant. C’était Maillet Disques (rue Racine à Nantes)

(3) : A l’époque je ne le connaissais pas. Par la suite j’ai retrouvé sa « trace » dans des revues comme Atem et surtout via son label Tago Mago

Je ne connaissais pas du tout This Heat... Et je trouve ça énorme !

Autant pour l'Escalator que pour This Heat, deux album/groupe que j'ai écoutés une bonne poignée de fois sans encore les apprivoiser. Pourtant, la fameuse 'Hotel Overture' d'Escalator Over the Hill met furieusement en appêtit, mais je garde peu de souvenirs des 120 minutes qui suivent. J'y reviendrai! (Bientôt! )

Blixa ton récit est super, j'ai vécu un peu la même chose,   ce qui m'impressionne le plus c'est le coup de Rawalpindi au Pakistan, j'ai vécu le même genre de truc quand j'étais à Lima au Pérou, il y avait une immense carte de l'Amérique du Sud en relief au centre ville sur la Place San Martin (libérateur du Pérou des espagnols) avec une pendule énorme, tous les jours je passais devant et je me disais c'est pas possible je suis là, je suis venu ici, tain mais l'Europe c'est où, c'est quoi, la France c'est quoi ??? un confetti, c'était dément en fait souvent j'avais l'impression d'être sur une autre planète tout était tellement différent
On était en mai/juin 1979, il n'y avait pas la guerre mais le mai 68 local se déclancha fin juin 1979, des grèves des profs, grève générale même, tout était fermé, des grosses manifs dans le centre de LIma, l'armée quadrillait la ville avec des chars, un jour il y eut une émeute sur cette fameuse immense place San Martin, l'armée chargea les manifestants à coups de gaz lacrimogéne, tout le monde dont moi qui m'était retrouvé là par hasard, au coin d'une rue j'étais même tombé sur un français que j'avais rencontré à La Paz (Bolivie) 3 samaines avant, que le monde était petit
à un moment donné des camions remplis de militaires armés, sont arrivés, j'ai vu la tête de ces  militaires à 5 mètres quand ils descendèrent de leurs camions  avec leurs flingues ils avaient des têtes de fous, on s'est mis à courir dans une rue, peut-être des centaines de personnes, j'attendais que les coups de feu claquent, j'avais l'impression d'être du gibier, un lapin on s'est planqué dans un immeuble, l'armée courait après les manifestants, aucun coup de feu ce jour-là un miracle, peut-être ailleurs il y en eut
Tous les jours pendant des semaines il y avait des morts assassinés par l'armée, des photos dans les journaux, que personne jamais ne publierait en France car trop choquantes, de la fumée du centre ville, tous les jours des affrontements .. bon bref
et la vedette au Pérou à Lima à cette époque c'etait Demis Roussos, on entendait que lui de partout dans les restos, les bars etc ..
Viva el Perù

Je suis en train de travailler M.Blixa, à la limite du harcèlement , pour :
1 - l'inscription sur le forum
2 - aller voir les Swans sur une des 2 dates en Belgique (ou les 2, tiens )

Il vacille mais tiens encore bon !

Alors on y croit.

 

Son inscription sur le forum, c'est la fin de tout ! En tout cas, au moins de mon autorisation de découvert !  

Pour le concert des Swans, je te comprends ! Quelle claque, rien que sur disque !

Imagine, la puissance en concert.
Je me souviens d'une Interview de Gira où il disait qu'on lui avait demandé de baisser la puissance de son ampli pour les normes décibels en salle et qu'il avait répondu qu'il était déjà au minimum !

Blixa a écrit:

2 - aller voir les Swans sur une des 2 dates en Belgique (ou les 2, tiens )

Il vacille mais tiens encore bon !

Alors on y croit.

De chez vous, y a 7-8 heures de route en se tapant la circulation francilienne, c'est plus de l'amour mais de la rage !

Blixa a écrit:

Imagine, la puissance en concert.
Je me souviens d'une Interview de Gira où il disait qu'on lui avait demandé de baisser la puissance de son ampli pour les normes décibels en salle et qu'il avait répondu qu'il était déjà au minimum !

En plus, à 61 ans, il doit être de la vieille école, donc pas de bouchons... Et donc à moitié sourd ! Donc plus ça ira, plus il jouera fort !

Ehn Deïss a écrit:

En plus, à 61 ans, il doit être de la vieille école, donc pas de bouchons... Et donc à moitié sourd ! Donc plus ça ira, plus il jouera fort !

Et bien non, tout le monde avait des bouchons d'oreilles !

Sinon l'évocation de mon "premier concert espéré" de Ben Harper m'a fait me rappeler qu'à l'époque j'avais un cahier où je collais tout ce qui m'intéressait de la revue éditée par la salle de concert "l'Olympic" que je prenais au magasin de musique "Tacoma".
Ca remonte donc en 1996 !

Que de souvenirs. Au dos de mon cahier, je retranscrivais tous les noms de groupes qui passaient lors de l'émission 'Les Inrockuptibles' de Bernard Lenoir sur France Inter. Je ne loupais quasiment pas une seule émission. Quelque part il doit y avoir des cassettes avec des bouts d'émission, et des compilations que je me faisais.

C'était mon époque Rock Indé à fond  

Pour citer quelques noms de groupes :
Compulsion, Butthole Surfers, Soul Coughing, Tom Verlaine, Moloko, Out of My Air, Scheer, Baader Meinhof, Super Fury Animals, Longpigs, Fun Lovin' Criminals, Daisy Chainsaw, Beck, Smog, Dandy Warhols, Revelino...

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Mercredi 21 février 1996 : Dominique A + Spain : 90 francs

Blixa a écrit:

que je prenais au magasin de musique "Tacoma".

Il y a quelques jours je me suis encore surpris à repenser avec nostalgie à ce magasin

Combien d'heures passées à arpenter les rayons en lorgnant sur des disques que je n'avais pas les moyens d'acheter ? (un par mois au mieux, ou deux mid-price ) ou les baffes prises lors des écoutes au casques de nouveautés prises au hasard.

Je me souviens aussi du rayon vidéo qui présentait le futur support haute définition (et vendait les premières références dispo) : le vidéo-disc

Ouais,il était bien ce magasin....

Tien, on ne l'a pas vu depuis juin

On dirait qu'on a un quota de filles limité sur le forum, maintenant que Progirl poste régulièrement, c'est Blixa qui est repartie

j'espère que tout va bien tout de même...

j'vous jure, j'ai rien fait ...